La tête haute, le regard droit, le verbe puissant, et tout de suite un sourire et une poigne chaleureuse, Jacques-Etienne Deppierraz nous accueille dans la cuisine de sa cure à Perroy. Lieu plaisant et agréable dans lequel trône un grand manteau de cheminée, vestige d’une autre époque.
Sa pièce préférée, tant elle est synonyme de rencontres, de confidences, de verres partagés et de repas accueillants. Car il aime par-dessus tout se plonger dans l’intensité de la relation, là où les faux-semblants sont déjoués et les vérités se livrent. Tout dévoré qu’il est par la passion de l’autre, à la recherche de l’étincelle ultime de ce Christ qu’il poursuit inlassablement au plus profond de lui comme au plus intime de son interlocuteur. La passion. Le mot est lancé, il devient ritournelle au cours de l’échange. Tant pour évoquer son amour de la musique ou ses périodes d’intense travail théâtral que pour mentionner le hockey qui le ravage ou le tennis qu’il pratique assidûment. On le croirait volontiers capable de se prendre au jeu pour mille autre choses, insatiable et effréné dans sa poursuite. De quoi au juste? Cet élan relève de l’évidence pour lui. Il ne peut en dater l’émergence avec précision, mais il sait que son immersion religieuse est liée à son papa pasteur. Il sait aussi, très tôt, qu’il en sera de même pour lui. Ce cap inflexible guide son gouvernail durant les tempêtes terribles qu’il traverse.
Sa pièce préférée, tant elle est synonyme de rencontres, de confidences, de verres partagés et de repas accueillants. Car il aime par-dessus tout se plonger dans l’intensité de la relation, là où les faux-semblants sont déjoués et les vérités se livrent. Tout dévoré qu’il est par la passion de l’autre, à la recherche de l’étincelle ultime de ce Christ qu’il poursuit inlassablement au plus profond de lui comme au plus intime de son interlocuteur. La passion. Le mot est lancé, il devient ritournelle au cours de l’échange. Tant pour évoquer son amour de la musique ou ses périodes d’intense travail théâtral que pour mentionner le hockey qui le ravage ou le tennis qu’il pratique assidûment. On le croirait volontiers capable de se prendre au jeu pour mille autre choses, insatiable et effréné dans sa poursuite. De quoi au juste? Cet élan relève de l’évidence pour lui. Il ne peut en dater l’émergence avec précision, mais il sait que son immersion religieuse est liée à son papa pasteur. Il sait aussi, très tôt, qu’il en sera de même pour lui. Ce cap inflexible guide son gouvernail durant les tempêtes terribles qu’il traverse.