En franchissant le porche de pierre qui mène au jardin de la cure de Palézieux-Village, mon regard tombe sur d’étranges sculptures de bois. Une roue de foire, une sorte de cheval d’arçon, des planches parfois peintes, des cordes et divers objets qui nous amènent un univers qu’on imagine ludique et joyeux.
Le pasteur Olivier Rosselet nous présente fièrement sa collection de jeux qu’il exploite dans son ministère. Il se plaît à en souligner le côté gratuit et non compétitif qui permet à des personnes de tous âges de partager le plaisir de la rencontre. Cet amour du jeu, il le cultive depuis longtemps en couple et entre amis. Le ton de la conversation est léger, enthousiaste et appliqué. On sent chez lui le désir de trouver la bonne formule pour décrire son itinéraire. Ce dernier s’oriente tout d’abord vers l’informatique: «je n’avais pas de passion particulière et la promesse d’avoir une bonne situation a fait le reste». Pourtant, après quelques années, il souffre d’un manque de relations humaines. Ses engagements bénévoles lui donnent le goût de l’Église. Un congé sabbatique marque alors un tournant décisif: «Avant de me marier, j’ai donné six mois de ma vie à Dieu» explique-t-il. Il découvre le Togo, le Burkina Faso et le Mali avec Jeunesse en Mission. Une fois de retour, il se verrait bien pasteur.
Le pasteur Olivier Rosselet nous présente fièrement sa collection de jeux qu’il exploite dans son ministère. Il se plaît à en souligner le côté gratuit et non compétitif qui permet à des personnes de tous âges de partager le plaisir de la rencontre. Cet amour du jeu, il le cultive depuis longtemps en couple et entre amis. Le ton de la conversation est léger, enthousiaste et appliqué. On sent chez lui le désir de trouver la bonne formule pour décrire son itinéraire. Ce dernier s’oriente tout d’abord vers l’informatique: «je n’avais pas de passion particulière et la promesse d’avoir une bonne situation a fait le reste». Pourtant, après quelques années, il souffre d’un manque de relations humaines. Ses engagements bénévoles lui donnent le goût de l’Église. Un congé sabbatique marque alors un tournant décisif: «Avant de me marier, j’ai donné six mois de ma vie à Dieu» explique-t-il. Il découvre le Togo, le Burkina Faso et le Mali avec Jeunesse en Mission. Une fois de retour, il se verrait bien pasteur.