D’emblée on sent qu’elle affectionne l’exercice de l’interview, portée par l’envie de raconter. Un côté appliqué et sérieux qu’on lui plaquerait volontiers dans un premier temps vole en éclat lorsqu’elle se livre. Elle n’a alors pas besoin d’insister sur son caractère extraverti, ni sur sa passion pour tisser des liens. Florence Löliger nous accueille dans la cure d’Aubonne où elle réside depuis sept ans.
Rapidement, la conversation s’oriente sur les enfants dont elle admire la candeur et la spontanéité. Elle leur fait découvrir la narrativité des texte bibliques «en trois dimensions» précise-t-elle. Le récit s’emballe lorsqu’elle explique comment elle leur présente les beautés de la création en l’illustrant par la minutie d’une fourmi. Elle évoque aussi volontiers comment la maternité a changé son regard et son rapport aux autres mamans. Le souvenir intense d’une prédication faite dans le temps de Noël, sur la visite de Marie à Elisabeth, alors qu’elle était elle-même enceinte, s’impose. Un temps fort où le texte de l’Évangile a rejoint son expérience personnelle.
La diacre s’anime aussi lorsqu’elle mentionne le chant comme l’un de ses lieux d’épanouissement. «Chanter c’est prier deux fois» dit-elle en citant Luther et Saint Augustin. La diversité des styles, l’émotion et le partage sont au cœur de ce qu’elle souhaite transmettre.
Rapidement, la conversation s’oriente sur les enfants dont elle admire la candeur et la spontanéité. Elle leur fait découvrir la narrativité des texte bibliques «en trois dimensions» précise-t-elle. Le récit s’emballe lorsqu’elle explique comment elle leur présente les beautés de la création en l’illustrant par la minutie d’une fourmi. Elle évoque aussi volontiers comment la maternité a changé son regard et son rapport aux autres mamans. Le souvenir intense d’une prédication faite dans le temps de Noël, sur la visite de Marie à Elisabeth, alors qu’elle était elle-même enceinte, s’impose. Un temps fort où le texte de l’Évangile a rejoint son expérience personnelle.
La diacre s’anime aussi lorsqu’elle mentionne le chant comme l’un de ses lieux d’épanouissement. «Chanter c’est prier deux fois» dit-elle en citant Luther et Saint Augustin. La diversité des styles, l’émotion et le partage sont au cœur de ce qu’elle souhaite transmettre.